Lundi 13 janvier, la chaire Rodhain a célébré les 128 ans du célèbre « j’accuse » d’E.Zola. En replaçant ce texte dans son contexte géopolitique (perte de l’Alsace et de la Lorraine, loi de 1881 sur la liberté de la presse), Aude Bernard, juriste, titulaire de la chaire et Marie Cécile Cadars, maitresse de conférence en littérature comparée nous ont permis de comprendre en quoi l’engagement d’E.Zola était une révolution. Antidreyfusard au début de l’affaire, il est convaincu après un travail d’enquête de l’innocence de Dreyfus. Sa connaissance des risques que lui fait courir la nomination des accusateurs, n’affaiblira pas sa détermination de défendre l’honneur du capitaine.
Pour découvrir leurs arguments :https://www.radiopresence.com/emissions/foi/vie-de-l-eglise/vivante-eglise/article/vivante-eglise-111364